Je passe aux protections menstruelles lavables

Publié le 30 juillet 2024

    Pourquoi changer ?


    • Elles sont plus saines :
      Aucun perturbateur endocrinien, pas d'alcool, pas de plastique, zéro produit toxique !
    • Elles sont plus économiques :
      Elles peuvent s'utiliser pendant plusieurs années, vous faites des économies sur la durée.
    • Elles sont plus écologiques :
      À part leur emballage, elles ne produisent aucun déchet pendant leur durée de vie !

    En chiffres


    L'utilisation d'une coupe menstruelle au lieu de tampons ou de serviettes jetables permet d'économiser jusqu'à 119 € par an. Calculées sur la durée d'une vie, ces économies peuvent dépasser 4 400 € ! Source : Zero Waste Europe

    Nos conseils

    Un "kit découverte" est disponible à la Maison de l'Habitat et du Développement Durable.

    Présentez-vous à l'accueil pendant les horaires d'ouverture.

    Un conseiller pourra vous présenter trois modèles de protections menstruelles lavables et réutilisables :

    • une coupe menstruelle ;
    • une serviette hygiénique lavable ;
    • une culotte menstruelle.

    Horaires

    Accès

    La Métropole du Grand Nancy vous aide à acquérir des protections menstruelles lavables grâce à une subvention de 100 % du coût plafonnée à 90 € sur 3 ans (2024-2026).

    Subvention des protections menstruelles lavables

    Remboursement par la Sécurité Sociale


    Les jeunes âgées de moins de 26 ans et les bénéficiaires de la C2S (protection complémentaire santé solidaire) pourront bientôt bénéficier de la gratuité des protections périodiques réutilisables.

    En savoir plus

    Le saviez-vous ?


    Durant sa vie, une femme a ses règles pendant 39 ans en moyenne.

    Elle utilisera alors entre 10 000 et 18 000 protections à usage unique pour un budget très variable de 700 à 7 000 €.

    En France, chaque année, 2 milliards de protections hygiéniques sont consommées puis jetées !

    Une partie se retrouvera dans les stations d’épuration, ainsi que sur les plages et dans les océans. Selon la Commission européenne, elles sont le 5ème déchet plastique le plus présent sur nos plages !